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Vivian Verdier, un étudiant de vingt ans, est retrouvé mourant dans un bois des environs de Macon. Il a été abattu d'une décharge de fusil de chasse alors qu'il faisait son footing.Pour Léa Ribaucourt, jeune lieutenant de police chargée de l'enquête, la piste du règlement de compte est la plus probable : Vivian se livrait à un trafic de stupéfiants. Mais Léa a beau passer l'entourage de la victime au crible, les suspects se font rares. Que signifie le chiffre 4 que le jeune homme a tracé sur le sol avant de tomber dans le coma ?Poursuivant minutieusement ses investigations, Léa découvre que Vivian collectionnait les embrouilles : petit dealer, joueur de football brutal, employé indiscret... Selon sa petite amie, il était sur un « gros coup ». Le délinquant sans envergure s'était-il attaqué à un gibier trop gros pour lui ?

En 1943, l'appel de la Résistance conduit Pierre Issartel à abandonner sa femme et ses deux enfants, la mort dans l'âme. Il connaîtra privations, blessures et agressions avant de réussir à intégrer le maquis. Cependant la tristesse d'avoir quitté les siens se fait omniprésente et ce n'est qu'en août 1944 qu'il reviendra chez lui en pleine nuit. Sa surprise sera alors de taille...

Léa Ribaucourt, capitaine de police, est mutée à Lyon.Comme le veut la tradition à la brigade criminelle, on confie à la nouvelle arrivante une affaire non élucidée. Il s'agit d'un meurtre datant de l'année précédente. La victime est un jeune délinquant abattu d'une balle de 22 long rifle au pied d'un immeuble HLM de Bron.Léa se lance à corps perdu dans son enquœte mais ne tarde pas à déchanter : aucune piste n'émerge de ses propres investigations. Alors qu'elle craint d'inaugurer par un échec ses nouvelles fonctions, un événement relance l'affaire : un an après, jour pour jour, un meurtre est commis, en tous points identique à celui de Bron. Léa reprend espoir. Elle ignore le pouvoir de nuisance de l'assassin qu'elle va débusquer...